Sauver la Vie
Prier pour la défense de la vie : avortements, crimes, euthanasies, accidents...
Chemin de Marie
Pourquoi il est si important de prier pour le respect de la Vie
Respectons la Vie sous toutes ses formes.
Respectons la création sous toutes ses formes.
Prions les saints Innocents et à travers eux les enfants oubliés, morts avant
d'être nés, morts de toute forme de destruction. Prions pour les âmes
innocentes.
Qui aujourd’hui oserait s’opposer aux lois iniques injustes à l’excès dans leur étymologie, mortifères, votées la plupart du temps de nuit par des pseudo-représentants du peuple et ce dans une quasi indifférence générale?
Dieu seul est Maître de la vie
« La mort est entrée dans le monde par la jalousie du démon » Sag. 1, 24
Parler de la mort des enfants et celle des nouveaux nés demande une étymologie. L’Histoire de ces morts remonte au Massacre des saints Innocents du temps d’Hérode qui voulait faire disparaître le Sauveur du Monde né dans une Crèche.
(Innocent : vient du latin, innocens. Inoffensif, qui n’est pas malfaisant ou dangereux. Ce qui n’est pas coupable, exempt de toute malice et de tout vice.)
Tout le programme de l’occulte est posé en ces termes : il faut détruire et poser le mensonge là où se trouve la vérité. Or la vérité, c’est la vie ! Car dans le cinquième commandement de Dieu, il est dit : « Tu ne tueras pas ».
Dieu a tout créé dans un cadre établi. Il est le référent universel (∞) et nous sommes dans le cadre (□) en alpha et en oméga, c’est-à-dire en toute création originelle et finale pour l’éternité voulue par le Créateur. Soit : ∞ □
Dieu est donc toute chose, en toute chose et pour toute chose. Nous venons de Dieu et nous y retournerons. Et si dans la Création du monde Dieu permit à Adam et Eve de nommer toute chose, pourquoi à notre époque, devrions-nous accepter de nouveaux concepts de vie artificielle non pensée par Dieu comme le clonage, la théorie du genre, … ?
Rappel : Début du Prologue de saint Jean Evangéliste : « Au commencement le Verbe était et le Verbe était avec Dieu et le Verbe était Dieu, il était au commencement avec Dieu, tout fut par Lui et sans lui rien ne fut. De tout être il était la vie. » Dieu donne la vie à toute chose et à l’homme et à la femme Il dit : « Croissez et multipliez-vous ! »
Dieu donne la fameuse liberté à l’homme et à la femme de « se gérer ». Car en créant le premier couple, Dieu donne Son Essence divine, Sa force créatrice, Son élément sacré appelé Vie. Et aujourd’hui par la fausse interprétation du mot liberté, l’Homme doit choisir entre la vie ou la mort en permanence. Et les fameuses lois iniques que constituent l’euthanasie, la procréation artificielle, l’avortement, le clônage, l’adoption parentale hors sexe, font la joie de l’enfer. Mais en opposition, notre Seigneur Jésus Christ donne cette réponse dans l’Evangile de saint Mathieu: « Tout ce que vous aurez fait en bien ou en mal à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que l’aurez fait. » Et dans sa 1ère Epître 3., saint Jean écrit : « Le péché c’est la révolte contre Dieu ».
Ainsi, l’homme, devenant de plus en plus indépendant jusqu’à se prendre pour son propre dieu, face à l’effondrement de tous les points repaires, face au désespoir, face à sa solitude, en viendra à toujours choisir une solution de demi-mesure ou de faux semblant. Sa survie est en jeu à travers ces pensées : « Qui peut me juger. Je suis libre de penser et donc d’agir. Est-ce que la vie vaut la peine d’être vécue ? … »
Revoilà le mot « Vie » ! Car la mort comme le lion, dit le psalmiste, rode la nuit dans le noir. Et dans cette confusion il n’a plus de place pour le discernement. Aussi, coupé de Dieu et des Principes sacrés liés à son éternité, pourquoi l’homme s’inquiéterait-il encore de ses actes ?
La pensée unique voulue par le vote des lois iniques minent l’individu jusqu’à lui fournir sa perte d’identité. Tous les choix voulus par la loi des hommes deviennent ainsi petit à petit de bons choix et surtout ceux de la soumission. Comme l’homme se retrouve dans une pénombre journalière proche de la Ténèbre, il ne peut plus distinguer la lueur de l’espoir, une lueur qui peut aller jusqu’à lui faire mal. Or, Dieu veille toujours car Il ne veut pas qu’une seule âme ne se perde. L’étincelle divine du moment de la création lors de l’enfantement (la procréation entre la femme et l’homme époux) ne s’éteint jamais. Elle est la petite flamme qui ne s’éteint jamais. Dieu est toujours là à la porte de notre âme qui, elle, est indestructible et donc éternelle.
Qui donc peut juger du moment de vie ou de mort de tout être créé ? Quel est l’homme qui ose se poser en juge de Dieu ? Qui ose élever sa voix de vote contre la Volonté de Dieu ?
Où en sommes-nous ?
Dans le droit canonique, article 747, « Il faudra veiller à ce que tous les fœtus abortifs, quel que soit le temps où il aura été mis à jour, soient baptisés : de façon absolue, s’il est certain qu’ils vivent, de façon conditionnelle, si la vie est douteuse ». Ainsi par ce texte comprenons bien que l’Eglise part du principe que l’âme est déjà là quel que soit le moment de l’avortement. Relevons encore la condamnation sans appel faite par Vatican II dans Gaudium et Spes, par. 51, 3e. : « L’avortement est un crime abominable ; elle l’assimile à l’infanticide ».
Quel combat à notre époque dans le cœur des hommes et des femmes en vue d’accepter de telles formulations ! Les individus auraient-ils donc totalement oublié la Voix de Dieu, ses Principes ? A Noël 1974, le Pape Paul VI disait : « Malheur à qui porte la main sur l’homme ! Il naît sacré à la vie dès le sein maternel. Il naît doué de la pensée ; il naît doué de volonté, destiné au bien, mais capable d’erreur et de péché. Il naît pour la vérité. Il naît pour l’amour ».
Les actes profanés par l’homme suite aux lois de l’enfer (comme les appelait Marie Julie Jahenny la stigmatisée de La Fraudais) correspondent au rejet par la loi des hommes des lois voulues par Dieu. Car ce que Dieu a déposé dans toute conscience humaine se retrouve dans la Vie de Notre Seigneur Jésus Christ aujourd’hui plus qu’hier en agonie jusqu’à la fin des Temps.
Et au-delà de la responsabilité même de la femme ou de l’homme, nous devons réfléchir sur la responsabilité engagée des artisans de la médecine qui obéissent à ces lois (comme pour l’euthanasie, l’avortement, …). Nous avons un devoir de prier pour les légistes, les médecins, les infirmières, les sages-femmes, les accompagnateurs sociaux,…)
Le nombre d’avortements et d’euthanasies progresse régulièrement et des chiffres sont difficiles à vérifier mais nous pouvons les estimer à plusieurs millions chaque année et ce dans le monde. A savoir que des pays étudient à présent des lois pour étendre l’euthanasie aux mineurs. De toute façon les lois des hommes se heurteront toujours au Principe même de Dieu, Maître de la Vie, Maître de l’univers, Maître de l’Histoire.
La guérison dans le sein maternel
Cette guérison n’est pas possible sans l’aide de la Sainte Vierge.
La Vierge Marie, Immaculée Conception, est notre soutien, notre phare, dans les combats pour la Vie. Avec saint Joseph pensons à leur combat du temps des saint Innocents massacrés sous les ordres d’Hérode jusqu’à l’âge de deux ans !
Le sein maternel est ce qui nourrit, ce qui entretient la mémoire de gestation. Une mémoire de création dans le don sacré de l’Essence divine. Dans les martyrologues nous trouvons des exemples de saints qui lors de leurs martyrs ont laissé couler du lait à la place de sang. Tout une symbolique ! En effet, en ce qui concerne la guérison d’un sein maternel, d’un ventre maternel blessé, l’image d’un lait matriciel est importante. L’image d’être porté sur les genoux de la sainte Vierge et nourri de la substance divine est un mystère ! Le sein nourricier qui allaite et le sein maternel de la gestation se rejoignent dans la Pensée du Père !
Car le corps tout entier constitue une grande oreille dans le sein maternel une vision importante de compréhension pour tout un chacun afin qu’il comprenne que le corps possède cette fonction de se faire oreille afin que l’Homme devienne Verbe. Car toutes les informations reçues se retrouvent dans l’eau amniotique. Le psalmiste ne chante-t-il pas : « Tu m’a tissé dans le sein de ma mère » ( Ps.89,13) ? Car l’homme qui donne le sperme ne se conforme-t-il pas à la Parole de Dieu qui engendre ? La femme reçoit donc par l’archétype masculin cette Essence divine pour en faire mémoire à travers et au-delà de la procréation. Donc que les situations liées à un avortement n’entraînent pas de désespérance ou une culpabilité morbide. Même si un sein blessé laisse une cicatrice pour le futur enfant, celle dite d’un tombeau vide, il convient de « nettoyer » cette poche de lieu de vie par le regard posé sur l’épisode de la résurrection de Lazarre mort depuis plusieurs jours (« il sent déjà Maître ») qui sortit vivant du tombeau. (voir les techniques de guérison du sein maternel).
Guérir du ventre de sa mère comme guérir dans le sein maternel résume en soi la notion d’un Dieu qui a des entrailles de Mère. Ecoutons Notre Seigneur dans une location donnée à une âme privilégiée : « Dans ma grande Miséricorde, je ne viens pas pour condamner, mais pour sauver. Voilà le temps de la grande Miséricorde ! C’est le temps de la purification, le temps de la Miséricorde. »
L’enfant perdu, l’enfant avorté, doit exister par son identité car chacun recevant une pierre blanche à sa naissance, possède son nom gravé devant Dieu. Et le baptême d’enfant en gestation comme celui d’enfant avorté relève d’une prise de conscience nécessaire pour chacun. Bénir le ventre d’une maman enceinte est une bonne chose. Demandez une célébration de mémoire pour un enfant parti est une chose nécessaire. Il faut donner à l’enfant le nom ! Chacun possède son Ange titulaire. Chacun possède son saint protecteur. De grâce de confondez pas les concepts de Dieu ! « À ce moment-là, les disciples s’approchèrent de Jésus et lui dirent : « Qui donc est le plus grand dans le royaume des Cieux ? » Alors Jésus appela un petit enfant ; il le plaça au milieu d’eux, et il déclara : « Amen, je vous le dis : si vous ne changez pas pour devenir comme les enfants, vous n’entrerez pas dans le royaume des Cieux. Mais celui qui se fera petit comme cet enfant, celui-là est le plus grand dans le royaume des Cieux. Et celui qui accueille un enfant comme celui-ci en mon nom, il m’accueille, moi. Gardez-vous de mépriser un seul de ces petits, car, je vous le dis, leurs anges dans les cieux voient sans cesse la face de mon Père qui est aux cieux. » Mat.18, 1-5, 10
Chaque petit enfant est roi aux yeux de Dieu. Demandons cette grâce de compréhension à saint Joseph
Pour information :
Il existe des Messes de repentir à Cotignac, le 29 septembre (fête des
Archanges) et le 28 décembre (fête des saints Innocents) célébrées dans la
Chapelle du Sanctuaire (Cotignac).
Fête des saints Innocents : le 28 décembre
Chant d’entrée
De la bouche des nouveaux nés et des nourrissons, vous avez fait jaillir, Seigneur, une louange parfaire pour confondre vos ennemis.
Oraison
O Dieu dont les Innocents Martyrs ont proclamé aujourd’hui la gloire, non en paroles, mais par la mort, détruisez en nous la racine du mal, pour qu’ainsi notre vie même atteste une foi qu’exprime notre bouche, par Notre Seigneur Jésus Christ.
Communion
Une clameur s’est fait entendre à Rama, des gémissements et des sanglots : c’est Rachel qui pleure ses enfants et ne veut pas se consoler de ce qu’ils ne sont plus.
Confiance te délivrance par le Cœur Immaculé de Marie (de saint Antoine de Padoue)
1 – O Marie, Vierge dans le Divin enfantement, gardez mon corps et mon âme. Ave Maria.
2 – O Marie, Vierge dans le Divin enfantement, gardez mon corps et mon âme. Ave Maria.
3 – O Marie, Vierge après le Divin enfantement, gardez mon corps et mon âme. Ave Maria.
Quelques saints pour nous aider à prier : Saint Pacifique, sainte Philomène, sainte Maria Goretti, sainte Félicité, sainte Perpétue, saint Jean Berchmans, sainte Zélie martin. Et tant d’autres saints liés à vos rencontres personnelles.
Petit Office quotidien pour les enfants perdus, les petits innocents
Avec Jacintha et Francesco Marto deux des trois voyants de Fatima
Avec tous les voyants Mariaux et ceux de la Passion
Une prière préliminaire aux choix (personnel) puis :
› Le Credo.
› Projection de l'eau bénite aux quatre coins cardinaux.
Dites :
"Vous tous, morts nés en ce jour ou en cette nuit, Vous tous qui avez
été tués dans le sein de votre mère, Vous qui serez tués; afin que par Jésus
Christ vous ayez la Vie éternelle, je vous baptise au nom de …
(indiquez le nom de Marie, Joseph, Jean ou le saint du jour et donner un nom à l'enfant) car
Dieu répand l'eau bénite sur la tête des enfants et donne à chacun un nom. Je
vous baptise au nom du Père, et du Fils et du Saint Esprit.
"Je t'ai appelé par ton nom, tu es à Moi." (Isaïe 43,1), Alléluia
! Alléluia ! Alléluia !
› Notre Père
› Je vous salue Marie
› Gloire au Père
Terminer par un appel pressant du Cœur de Jésus :
"Encore une fois répercute mes paroles. Hâte-toi afin qu'à ces petits dont le nombre augmente, il soit porté secours avant qu'il soit trop tard, pour eux et pour vous."
(Office venant de : "Association tout restaurer dans le Christ" - Saint-Germain-en-Laye - J. Marty)
Intention : 6ème. jour de la Neuvaine à la Miséricorde Divine. Jésus à sainte Faustine : « Aujourd’hui amène-moi les âmes douces et humbles ainsi que celles des petits enfants : immerge-les dans l’océan de ma Miséricorde. Elles ressemblent le plus à mon Cœur et ce sont elles qui me fortifiaient dans ma douloureuse agonie. Je les ai alors vues comme des anges terrestres, veillant sur mes autels. Sur elles je verse donc à flots mes grâces, car seule une âme humble, que je comble de toute ma confiance, est capable d’accepter mes dons. »
Le Chemin de Marie vous propose ( un carnet existe, vous pouvez le commander )
La Prière pour les saints Innocents
L’Office quotidien pour les enfants disparus
Seigneur, que se lève l’armée angélique des innocents de notre temps pour la conversion du monde et pour la restauration de la Gloire de Notre Père des Cieux.
Oui le Ciel crie vengeance !
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